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ÉDITION         2022

C’est paré de nouveaux atours que revient le Festival…

Devenu Festival du cinéma social, il continue de mettre à l’honneur celles et ceux qui font du social leur cinéma. 

Un cinéma qui porte à s’émouvoir, à réfléchir, à agir. Un cinéma utile dans un monde d’images où les projecteurs se posent rarement de manière juste et complexe sur les situations sociales qui font le quotidien des travailleurs et intervenants sociaux et des personnes qu’ils accompagnent.

Pour sa 4ème édition, le Festival du cinéma social offre 5 journées et 3 soirées de projections, de débats et de rencontres en salles, suivies de la diffusion en ligne de certains films de la sélection. Le tout en accès libre, parce que le social nous concerne tous.

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  LE MOT DU PRÉSIDENT  
 

        Albert Marouani, président d’HÉTIS & du Festival.  

La nouvelle appellation de notre festival, désormais du « cinéma social » et non plus du « film social », vient après le changement de nom de l’IESTS en « HETIS ». Pour autant nos motivations et nos engagements restent les mêmes: accroître la visibilité́ de l’intervention sociale et mettre en valeur les travailleurs sociaux sur tous les plans : engagement, ouverture, empathie, exigence éthique… mais aussi compétences professionnelles et rigueur scientifique dans les analyses des situations et dans les interventions pratiques au service des personnes fragiles.

Les travailleurs sociaux, tout comme les établissements qui les ont formés, n’ont pas l’habitude de se mettre sous les feux de la rampe. Ils ne savent pas faire du cinéma et encore moins se donner en spectacle. Pourtant, ils mesurent bien l’importance des images et des dialogues lorsqu’ils s’inscrivent dans l’Art cinématographique, avec un grand « A » et qu’ils révèlent à un large public la complexité, la noblesse et la beauté du métier qu’ils (ou elles) exercent ou qu’elles (ou ils) exerceront à l’issue de leurs études.

La projection des films en compétition marque un moment fort et intense de mobilisation collective. Mais, il y a eu un « AVANT » de plusieurs mois de préparation minutieuse, et il y aura comme chaque année un « APRÈS » de « décryptage » à des fins pédagogiques de formation de nos étudiants et scientifiques d’observation et de recherche sur les « meilleures pratiques d’intervention sociale ».

C’est toute l’ambition du Festival du Cinéma Social de Nice que de contribuer à sublimer la dure réalité du social par le regard esthétique et toujours bienveillant d’un artiste. Ce dernier veut susciter l’étonnement, le questionnement, l’adhésion ou le rejet pour ouvrir les esprits sur d’autres visions du monde, sur d’autres rapports aux autres et à la différence.

C’est tout à l’honneur de la ville de Nice et du Département des Alpes-Maritimes de soutenir cette manifestation culturelle et sociale.

Que toutes celles et ceux qui directement ou indirectement ont œuvré à ce festival unique en son genre soient ici chaleureusement remerciés pour leur grandeur d’âme, leur ouverture d’esprit et leur engagement professionnel et moral.

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(...)" contribuer à sublimer

la dure réalité du social

par le regard esthétique

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d’un artiste"

Ancre élection 2022

  SÉLECTION  
 

26 films ont été sélectionnés pour cette 4ème édition du Festival du cinéma social. 

Leurs formats sont divers et singuliers, mais tous racontent un bout de la même histoire. Celle qui dit que l’être humain, de l’enfance à la vieillesse, a besoin des autres. Pour construire et se reconstruire, pour comprendre, pour que justice soit rendue, pour stopper la violence ou fuir.

Dans cette histoire, des femmes et des hommes sont au cœur de situations sociales difficiles, d’autres les accompagnent, certains en ont fait leur métier.

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Les films sélectionnés nous plongent dans l’ici et l’ailleurs, dans des vies d’enfants et d’adolescents, de mères, de personnes en situation de handicap ou présentant des troubles psychiatriques; dans des histoires de famille, d’exil et d’enfermement.

Ils ouvrent alors le champ de l’intervention sociale en suggérant…

… comment il est possible d’accompagner dans des institutions dédiées, dans des lieux inventés à leurs lisières, ou encore dans les espaces du quotidien ou de l’extra-ordinaire; 

… comment accompagner consiste à observer, écouter, parler, mais aussi partager, lire et chanter;

… comment de la rencontre entre individus naissent des projets.

Par des chemins documentés, souvent poétiques, toujours créatifs, les films de cette édition 2022 portent à se laisser surprendre, à se mettre en mouvement, à réfléchir aux besoins de chacun et à la portée de ses propres actes.

  COMPÉTITION  

         Les lauréats  

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Prix du Festival

du cinéma social

Prix du Festival

du cinéma social

Mention spéciale

Prix du Festival

du cinéma social

Mention spéciale engagement

PRIX SOLIDARITÉ - VILLE DE NICE

PRIX DES ÉTUDIANTS Hétis - MAIF

ex-aequo

prix partage - SIMON DE CYRENE

NOUS N'IRONS PLUS EN HAUT

de Simon HELLOCO

-

L'été se termine, c’est l’heure de l’ensilage dans une paisible campagne bretonne. Alors que des agriculteurs récoltent le maïs, deux frères de huit et douze ans sont seuls dans leur grande maison. Livrés à eux-mêmes, ils sont maîtres de ce vaste royaume et s’autorisent toutes les libertés. Ils s’interdisent seulement de monter à l'étage de la maison.

LES SILHOUETTES

de Asfaneh SALARI

-

En 1982, au plus fort de l’invasion de l’Afghanistan par l’URSS, plus d’un million et demi d’habitant.e.s sont poussé.e.s à l’exil en Iran. C’est là qu’est né Taghi, qui souhaite désormais fuir une société faisant subir à son peuple une discrimination quotidienne. Il décide ainsi de partir vivre dans le pays de ses parents, où des difficultés imprévues l’attendent.

LA COMBATTANTE

de Camille PONSIN

-

Quelque part sous les toits de Paris, une vieille dame attend de la visite. Longtemps, elle a été ethnologue, spécialiste du Darfour, une contrée qui ne l’a jamais quittée. Les visiteurs qu’elle reçoit, jour après jour, ne viennent pas jusque-là pour prendre le thé. Ce qu’ils viennent chercher, c’est l’aide cruciale que seule cette femme de 90 ans peut leur donner. Ils sont des rescapés du génocide qui frappe les populations du Darfour depuis 2003. Forte de sa connaissance du Soudan, Marie-José peut authentifier leurs récits et ainsi leur permettre d’obtenir l’asile politique en France. Durant chaque visite, l’appartement de la vieille dame devient alors le huis clos d’un échange d’une intense vérité…

Prix Participation CLTSDS

Prix Participation CLTSDS

Mention spéciale 

ÉCLAIREUSES

de Lydie WISSHAUPT-CLAUDEL

-

À Bruxelles, La Petite École accueille les enfants qui nʼont jamais connu lʼécole, souvent issu·e·s de lʼexil. Marie et Juliette ont créé ce lieu où le temps se construit hors de lʼapprentissage classique, où l ́on apprend à être ou à redevenir des enfants. Mais cela ne sʼélabore quʼau prix dʼune déconstruction continue de la pédagogie conventionnelle, et dʼun infini dévouement.

LA MIF

de Fred BAILLIF

-

Au cœur d’un foyer d’accueil, une bande d’adolescentes vivent avec leurs éducateurs. Comme une famille, elles ne se sont pas choisies et elles vivent sous le même toit. Lorsqu’un événement met le feu aux poudres, c’est tout un système qui se révèle au grand jour.

FRIMAS

de Marianne FARLEY

-

Dans un futur rapproché où l’avortement est maintenant recriminalisé, Kara est confrontée à une triste et brutale réalité. Malgré les dangers imminents auxquels elle s’expose, elle fait appel à une clinique d’avortement mobile illégale. C’est lorsqu’elle se retrouve dans les méandres de cette lugubre clinique qu’elle est confrontée aux répercussions de sa douloureuse décision.

PRIX ACCOMPAGNEMENT SOCIAL

 CONSEIL DEPARTEMENTAL 06

PRIX DES ÉTUDIANTS Hétis - MAIF

ex-aequo

         Les jurys 

  Prix Festival du cinéma social   
  HÉTIS - 2000 €   

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Camille FERET

-

Responsable Commission du Film Alpes-Maritimes Côte d'Azur

Camille Feret, originaire de Nice, a vécu plus de 10 ans à Londres travaillant en poste de production dans le secteur des médias (musique, publicité, TV et cinéma).  Après 7 ans en maison de disque et agence de talents elle travaille pour la BBC sur l’émission de talents « Let me entertain you » puis sur le documentaire « The age of stupid » de la réalisatrice Franny Armstrong.

En 2010, après plusieurs années au sein du Festival International de la Créativité (Cannes Lions) elle est chargée d’ouvrir une antenne française à Cannes ou elle développera un service de conseil auprès des partenaires du festival (agences, annonceurs, productions..).

Elle est aujourd’hui Responsable de la Commission du Film Alpes Maritimes Cote d’Azur, membre du réseau de la commission nationale du film Film France.

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Patricia ZUCCA

-

Directrice Collège Coopératif Provence - Alpes Méditerranée

Directrice du Collège Coopératif depuis 2016, artisan de compétences en intervention sociale, après un premier engagement dans l’éducation populaire au sein de centres sociaux dans les quartiers nords de Marseille pendant une vingtaine d’années… le cinéma a été une vraie fenêtre ouverte sur le monde pour moi et pour les jeunes et familles qui co animaient le « ciné bij bang » et le « ciné club café » dans le quartier… le cinéma, un outil d’émancipation, d’éducation et une vraie école de révélation d’émotions aussi contrastées que préparant à l’humanisme universel …

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Denis PARROT

-

Réalisateur

Denis Parrot est un monteur, infographiste et réalisateur français. Il a travaillé en tant que chef monteur sur le long métrage "Sur la trace d'Igor Rizzi" de Noël Mitrani, sélectionné au Festival de Venise 2006, et primé au Festival de Toronto en 2006.En tant qu'infographiste, il a travaillé sur "Revolting Rhymes", film d’animation d'après Roald Dahl pour la BBC, et sur "J'ai perdu mon corps" de Jérémy Clapin, nommé pour l'Oscar du meilleur film d'animation et primé de deux Césars. Il a réalisé le documentaire "Coming out", sorti en salles en 2019.

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Sylvain CASSINI

-

Psychologue, Trisomie 21

Sylvain Cassini est psychologue.  Il est intervenu auprès d’un public vieillissant,  de personnes sans domicile stable , ainsi que  dans le champ du handicap, et plus précisément de la déficience visuelle. Actuellement, il travaille sur un SESSAD et un SAMSAH avec des enfants et des  adultes  déficients intellectuels (trisomie 21 notamment).  

Il apprécie particulièrement tout ce qui fait médiation, thérapeutique  ou pas, et l' utilisation des différentes  possibilités  artistiques (musique, image, mouvement...). 

Il espère être surpris,  interrogé,  questionné,  touché,  émerveillé, déstabilisé, ou  juste contemplatif  devant  les différents films  proposés…

  Prix Accompagnement social   
  CD 06  -  1500 €  

  Prix Solidarité   
  Ville de Nice - 1500 €  

  Prix Participation   
  Comités Locaux du Travail Social & du Développement Social 
  1500 €  

Président du jury

Auguste VEROLA

Membres du jury

Lindes ADJIMI

Delphine ESTEVENON

Christine BORRELLY

Samantha RUIZ

Isabelle MIOR

Laura PIZZUTO

Marion IBARRA

Dominique MONTICELLI

Béatrice VELOT

  Prix Partage   
  Association Simon de  Cyrène  

Membres du jury

Manuel MAYER

Fabrice QUESSADA

Sabine THEVENIN

Magali MOSCARDO

Robin DUSSURGET

Présidente du Jury

Catherine Moreau

Membres du jury

Pascale FERRALIS

Jacques DEJEANDILE

Hélène DELMOTTE

Marc GONZALEZ

Liliane IMBERT

Séverine MONTEL

Jury composé de représentants des Comités au sein du réseau national des CLTSDS. Il réunit des personnes accompagnées, des travailleurs sociaux, des étudiants et formateurs, des responsables publics.

  Prix des étudiants HÉTIS   
    MAIF - 500 €   

Membres du jury

Nadège LAPIERRE

Sarah OMARI

Stéphane AMADO

Nuiata VOIRIN

Mandy PIIRAI

Karine MARQUES

  L'AFFICHE

         De la poigne !  

Les manches se retroussent, les poings se lèvent..

 

A pleines mains ou du bout des doigts, des parcours de vie vont être accompagnés. 

Ensemble, on déplie la bobine et les images révèlent ce qui est fait ou reste à faire.

En arrière-plan, le champ des possibles.

 

Immense.

 

Le Festival du cinéma social se présente ici comme une invitation à se rencontrer, à prendre de la hauteur et plonger en profondeur dans la complexité de mondes sociaux divers. 

 

Sa quatrième édition aura lieu sous le soleil méditerrannéen et elle aura de la poigne. 

C’est ainsi qu’elle s’annonce avec l’affiche de Pauline Jaballah.

         L'artiste  

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Pauline Jaballah, née en 1988, vit entre Marseille et l’Ailleurs : un rivage lointain dont elle trace les contours passagers au fil des rencontres et des imaginaires alter.

À la lisière des différentes pratiques artistiques, son travail créé des espaces d’écoute, d’échanges et de partages.

Frontalière, sa démarche introduit une poétique de la rencontre. Une tentative de faire coexister entre eux ces éléments pluriels qui tissent la trame animée du réel : sensibilités, récits de vie, regards, paroles et rêveries nourrissent sa quête d’Ailleurs. 

Des réalités souvent brutes, parfois tragiques s’élèvent via l’opération artistique vers le seuil fragile de la poésie.

Après une formation à l'ESARM ( École Supérieure d'Art de Rueil-Malmaison ) elle est acceptée à l'École Supérieure des Arts Décoratifs de Paris dont elle sort félicitée en 2014.

En parallèle de ses études, elle développe un laboratoire artistique en lieu de vie, l'Atelier décolor'stop et découvre le mouvement de l'Anti-Psychiatrie en assistant une de ses cheffes de file, Danielle Sivadon, pendant 5 ans.

-

       Le projet : une écriture à plusieurs mains  

J’ai découvert le Festival du cinéma social sur l’autre rive de la Méditerranée, en Tunisie. 

Je souffrais de ne pouvoir offrir à mes réalisations artistiques une visibilité plus grande. Réduites à leur espace en ligne, mes vidéos semblaient figées telles des vignettes inanimées.

 

Prise de l’élan propre aux artistes dans cette situation, j’épluchais studieusement les annonces, appels à projet et autres propositions pour diffuser mes créations.

 

Curieuse de l’enseignement offert par la rencontre avec l’altérité et la différence, j’avais pu, dès le début de ma formation artistique travailler en tant qu’animatrice dans un lieu de vie où les éducateurs et moniteurs spécialisés composaient l’encadrement de ce joyeux foyer : Les Cool’heures. Carte blanche m’avait été donnée pour accompagner des enfants qui de 5 à 20 ans partageaient le fait d’être placés par l’Aide Sociale à l’Enfance.

C’est donc riche de ces singularités et des matériaux récoltés par des activités nombreuses autour de la création individuelle et collective, que je revenais à l’École, fière de cette ressource précieuse qu’est la parole de l’autre et la réalité du travail social.

 

Dans ce désir de partager ma passion créatrice, d’accompagner ces jeunes dans leurs désirs d’expression, j’ai développé une palette de médiums qui, du dessin à l’écriture en passant par le bricolage, me permettait d’offrir à ces jeunes les outils adaptés pour développer leur projet.

Dans cette palette variée et colorée, la vidéo est devenue le support privilégié pour nos créations collectives.

 

Nous avons ainsi réalié quelques courts métrages qui venaient ponctuer la fin de nos week-ends.

 

Ainsi, quand, dans mon quartier lointain tunisien, je découvre cet appel à films du festival, j’y vois une promesse : celle que l’Art et le Social peuvent se rencontrer, s’apprivoiser et rayonner.

 

Car lorsque j’ai appris la sélection d’un de nos courts métrages, La terre des aventuriers, en 2017, puis, qu’invitée à le regarder, projeté sur l’écran immense du Pathé Gare du Sud, c’est la démarche entière de mon travail artistique qui a trouvé là sa raison d’être. Ce temps de partage devant un public réceptif à cette fenêtre ouverte sur le monde de l’enfance, ou plutôt sur le monde de ces jeunes trop vite privés de cette insouciance que le dispositif cinématographique venait réintroduire.

 

Permettre le temps du jeu, la reconstruction des subjectivités et des imaginaires, en gardant précieusement traces et souvenirs de ces moments ensemble était le fondement de ces actes filmiques.

 

Plus tard, j’ai pu participer au jury de l’édition 2021 et m’enrichir de tous ces regards concernés par les réalités éloignées qui trament le Social et le quotidien de ces travailleurs trop souvent laissés derrière les coulisses de la grande scène du visible.

Les réalisateurs frondeurs devenant alors de nouveaux explorateurs, déplaçant la lumière de la scène pour mieux valoriser ces acteurs de l’ombre : le cinéma social comme une lampe frontale, outil indispensable vers la mise en lumière de ces lignes de front des combats extra-ordinaires.

 

C’est donc avec une profonde reconnaissance pour le renouvellement de cette confiance que je réalise cette délicate mission de la création de cette nouvelle affiche.

_

La ville, le social, comme le cinéma partagent en commun la notion de mouvement.

Dans la ville, la pluralité des individus, habitants ou de passage, des quartiers, des milieux sociaux, enfin, des horizons riches et variés s'y rencontrent.

Comme sur la table de montage, les contrastes qui tissent la toile animée de la réalité citadine construisent une narration quotidienne, posent les fondements de problématiques qui se déploient et s’expriment au gré des rencontres.

De la même façon, la pluralité est fondatrice du champ social : les singularités, les différences, la richesse des domaines d’application du travail social ne peut prétendre à la fixité. Elle est sa force, son identité : incasable, en mouvement permanent, surfant sur les paradoxes et les contradictions qui forment la toile de fond de ce cinéma quotidien.

 

Parce qu’il est mouvement, le film devient alors le support le plus proche de ce Social qu’il tente de saisir.

Enfin, parce qu’il est lumière et projection, le cinéma est à l’image de l’élan qui nous anime dès lors que l’on rencontre l’Autre et son inconnu, dès lors que l’énigme de l’individu et de l’ « être ensemble » motivent notre quête de justesse et de justice vers une rêverie commune.

 

Ce sont ces trois dimensions du Festival que sont le cinéma, le social enfin, la ville de Nice qu’il m’apparaissait essentiel dans ce visuel de représenter.

Par des allers-retours permanents entre des propositions et le regard de mon entourage et de mes rencontres, de Salomé et de Caroline qui portent ce projet de Festival, l’affiche m’apparait comme une proposition écrite à plusieurs mains.

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notes et brouillon d'idées

Bribes de cheminement
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Recherches visuels et inspirations

Extrait de Cinema Paradiso, Giuseppe Tornatore, 1988

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première déclinaison autour de la sélection 2022

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Recherches visuels autour de Nice

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festival du cinéma social

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